Filets vides à Gaza

La vie d’un pêcheur est rarement facile, mais les navires de pêche de Gaza sont confrontés à une difficulté particulière : le blocus maritime israélien restreint leur zone de pêche à six miles nautiques de la côte. La pêche est un secteur clé de l’économie de Gaza, mais elle est limitée par des restrictions depuis dix ans. «Gagner sa vie est devenu très difficile, surtout dans ces conditions», explique Fahmi Bakr, un jeune homme de 20 ans qui étudie le droit à l’université Al-Azhar de Gaza. Ce jeune marié pratique la pêche pour payer ses études et faire vivre sa famille. «Je travaille toute la nuit et je risque ma vie, mais les faibles quantités de poisson que nous prenons ne me permettent pas de satisfaire nos besoins essentiels.»

Sur le même sujet

Un atterrissage en douceur

Pour des volontaires comme Sami Rahikainen, il est crucial d’établir une relation de confiance avec les migrants qui arrivent dans un nouvel endroit à la recherche d’une toute nouvelle vie. Voici son histoire.

Quand la rivière donne et reprend

À Rangpur (Bangladesh), le risque d’inondation est une menace constante pour les communautés locales qui vivent d’une activité de pêche artisanale. Ici, les habitants s’emploient encore à reconstituer leurs moyens de subsistance après la dévastation causée par la mousson de 2019.

Cette page existe aussi en:

Découvrir d’autres articles

Pour recevoir directement dans votre boîte aux lettres les meilleurs articles

Voulez-vous être tenu informé?

Ceci pourrait vous intéresser...

Quand la rivière donne et reprend

À Rangpur (Bangladesh), le risque d’inondation est une menace constante pour les communautés locales qui vivent d’une activité de pêche artisanale. Ici, les habitants s’emploient encore à reconstituer leurs moyens de subsistance après la dévastation causée par la mousson de 2019.

Jetez un coup d’œil