Les données peuvent aussi sauver des vies et les organismes humanitaires se mobilisent pour améliorer la façon dont ils les collectent et les utilisent. Mais sont-ils prêts à affronter le « Far West » du marché mondial des données, qui est largement non réglementé ?
Les organismes humanitaires se sont empressés d’adopter les nouvelles technologies et utilisent désormais couramment des données biométriques telles que scans des yeux, des doigts et des paumes pour assurer le suivi de la distribution de secours dans les situations d’urgence. Mais le secteur humanitaire est-il vraiment prêt à protéger ces données si personnelles ?
Là où les services de base manquent du fait d’un conflit ou d’une crise, l’utilisation des données sauve des vies. Selon les experts, la protection du bien-être physique des personnes passe aussi par la protection de leur profil numérique dans le cyberespace.