2 sur 3| Bloquer ou accepter ?
Les organismes humanitaires se sont empressés d’adopter les nouvelles technologies et utilisent désormais couramment des données biométriques telles que scans des yeux, des doigts et des paumes pour assurer le suivi de la distribution de secours dans les situations d’urgence. Mais le secteur humanitaire est-il vraiment prêt à protéger ces données si personnelles ?