«Je me mets à leur place»
Chassé de son foyer par le conflit, Walid aide aujourd’hui des personnes qui traversent les mêmes épreuves.
Chassé de son foyer par le conflit, Walid aide aujourd’hui des personnes qui traversent les mêmes épreuves.
Faire l’impossible : une journée comme une autre à l’Hôpital républicain de Saada
Souad trouve une nouvelle voie après avoir tout perdu
Seham n’a que 12 ans, mais elle est chargée d’une tâche essentielle pour toute sa famille.
Un comédien s’est trouvé un rôle nouveau : distraire et faire rire des enfants plongés dans la tragédie de la guerre, tout en faisant passer des messages sur la santé et la sécurité
La guerre au Yémen n’a pas étouffé la passion d’Abdoullah Yahya : éduquer la génération montante
Là où les services de base manquent du fait d’un conflit ou d’une crise, l’utilisation des données sauve des vies. Selon les experts, la protection du bien-être physique des personnes passe aussi par la protection de leur profil numérique dans le cyberespace.
Le conflit, les changements climatiques, la pandémie et d’autes catastrophes mettent à l’épreuve la résilience de millions de personnes en Éthiopie.
En 2018, Hassan al-Kontar est resté bloqué sept mois dans un aéroport, dans l’attente d’une réponse à sa demande d’asile. Aujourd’hui, il fait à nouveau parler de lui, mais cette fois pour sa contribution au pays qui l’a accueilli.
Les organismes humanitaires se sont empressés d’adopter les nouvelles technologies et utilisent désormais couramment des données biométriques telles que scans des yeux, des doigts et des paumes pour assurer le suivi de la distribution de secours dans les situations d’urgence. Mais le secteur humanitaire est-il vraiment prêt à protéger ces données si personnelles ?